COMMUNIQUE DE PRESSE
Le corps de nos enfants n’appartient pas à l’Etat !
Depuis 2 ans, l’Etat nous a forcés à effacer de nos visages les identités , les émotions, les sourires.
Depuis 2 ans, l’Etat nous a forcés à inculquer à nos enfants le repli sur soi et la peur de l’autre, la culpabilisation d’être un danger pour ses proches, la stigmatisation et le harcèlement.
Depuis 2 ans, l’Etat a fait de l’école un lieu d’appréhension, d’incompréhension, de discrimination voire de persécution.
Depuis 2 ans, l’Etat a refusé aux enfants le droit à l’insouciance et à l’innocence, le droit aux jeux et loisirs sans distinction de statut.
Depuis 2 ans, nous, parents, avons consenti à confiner, isoler, dépister, tracer, maltraiter.
Depuis 2 ans, nous, parents, avons accepté de sacrifier l’apprentissage et la qualité de développement de nos enfants (25% des hospitalisations des enfants sont en pédopsychiatrie, 22% de baisse de QI des enfants pendant la crise, augmentation massive des troubles anxieux, dépressifs, obsessionnels compulsifs et du comportement alimentaire, augmentation de 299% des suicides et tentatives de suicides en 1 an chez les enfants et adolescents).
Et maintenant ???
L’Etat voudrait nous soumettre définitivement en nous demandant de sacrifier ce que nous avons de plus cher, ceux que nous avons de plus cher, ceux qui sont notre avenir : les plus petits et les plus fragiles.
Leur faire prendre des risques sans aucun bénéfices, eux –les super-contaminateurs- dont en réalité la maladie ne veut pas ! (4 fois moins de morts dues au covid que la grippe saisonnière ou la gastro)
Ne laissons pas le gouvernement faire de nos enfants sa variable d’ajustement : la crise de l’hôpital -notamment la saturation des services- ne trouvera pas sa solution dans la vaccination des 5-11 ans!
Enfin la vaccination des 5-11 ans est ouverte -certes sans obligation ni contrainte de Pass- mais dans des conditions indignes.
Depuis le 26 janvier 2022, les enfants de 5 à 11 ans (après les 12-17 ans) peuvent être vaccinés avec l’accord d’un seul des deux parents. L’avis du « parent 2 » est « facultatif » !!!
Alors que nombre de familles se déchirent déjà sur fond de crise sanitaire, la pression va maintenant porter sur les enfants et alimenter le conflit de loyauté qu’ils entretiendront inévitablement envers le parent « trahi » en cas de désaccord au sein du couple (marié ou séparé).
Depuis le 26 janvier 2022, les enfants peuvent être vaccinés sans qu’aucun des deux parents ne soit présent à ses côtés !
Les enfants pourront donc subir des actes physiques sans explication, en l’absence de leurs parents voire en sachant qu’un des 2 parents est opposé à l’acte pratiqué.
Il s’agit donc là de laisser entendre aux enfants que leur corps peut être utilisé par n’importe quel adulte, dans un lieu peu sécurisant sans accord conjoint des parents.
N’importe quel adulte ? Presque puisque le même arrêté du 26 janvier élargit le nombre de professionnels autorisés à intervenir : en plus des médecins, sages-femmes et pharmaciens, les sapeurs pompiers (pro ou bénévoles), étudiants en santé (médecine, pharmacie, maieutique, infirmier, dentiste) seront eux aussi habilités.
ALORS ??? Allons nous laisser l’Etat nous déposséder de tout , non seulement de nos libertés fondamentales, mais aussi de notre autorité parentale ???
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