Ils sont partis !

Ils sont partis !

Ça y est, ils sont partis, ils quittent leur maison, leurs amis, leurs familles.

Ils sont 5, chassés par le pouvoir sanitaire, virés par le pouvoir politique.

Sebastien mon fils, Pauline ma belle-fille, infirmiers spécialisés en dialyse, leurs 3 enfants Gabin, Manon et Eïline.

 Mes petit-enfants. Ils sont partis chassés en des terres inconnues, contraints et forcés pour pouvoir vivre de leur activité choisie pour laquelle ils se sont formés.

Formation universitaire et professionnelle qui légitime leur doute « vaxxinale ».

Ils sont partis chez nos voisins suisses qui n’exigent aucune vaccination pour exercer dans le domaine de la santé.

Ils sont partis après avoir résisté après un an de suspension : pas le droit à la formation professionnelle, pas le droit au chômage, pas le droit de travailler sous peine

d’être considérés  démissionnaire de leur poste. Leur structure était prête à des compromissions pour conserver ces 2 personnes qui exerçaient au-delà de leur mission.

Ils ont refusé de s’engager sur cette voix.

Ils sont partis le cœur lourd, l’âme défaite, l’espoir en reconstruction car dans leur épreuve ils ont envisagé de partir hors de notre temps et notre espace : ils ont pensé

à un suicide familiale.

Nous entendons que 3 personnels suspendus (santé, sécurité civile…) se suicident tous les 2 jours (conférence du Pr PERRONNE au Parlement européen, prise de parole d’un enseignant).

Qui parle de ces personnels partis, qui témoigne de la violence sociale infligée à des personnes entrées dans une souffrance, un sentiment d’abandon, de délaissement rarement imposé

par le passé. Et pourtant nombreux étaient les lanceurs d’alertes ces dernières années, nombreuses sont les voix qui ont été censurées, asphyxiées, gilets et blouses déchirés.

Quel monde sommes-nous en train de laisser/faire émerger ? Monde qui assiste à l’augmentation du nombre de suicide chez les jeunes, adolescents et enfants suite à 2 années de gestion erratique et criminelle de la crise sanitaire ? Quelle société se révèle dans l’absence de résistance nombreuse, forte pour s’opposer à cette violence d’Etat.

Combien de témoignages, de décès faudra-t-il pour que nous relevions la tête pour dire stop à la doxa et pourtant il suffit d’écouter, pour exemple, la déclaration de Mme SMALL, représentante de Pfizer, oui de Pfizer face à la Commission Européenne, « nous n’avons pas testé les effets de notre vaccin sur la transmission du virus ».

Comment supportons-nous l’attitude de ce journaliste argumentant dans le sens de la doxa, sur le plateau de P.PRAUD traitant de cette déclaration ? Comment ?

Ils sont partis vivre en d’autres lieux mais sont restés dans notre temps, merci mes enfants de vous être épargnés, de nous avoir épargnés, de m’avoir épargné. Toute ma compassion aux personnes qui ne sont épargnées.

Claude pour Le Collectif Citoyen Viennois

Laisser un commentaire